«J’ai mis un temps infini à moi décider à rédiger ces quelques lignes mais le temps, mon temps personnel, celui du pauvre humain que je suis, est désormais compté. Je n’ai jamais compris comment je me suis retrouvé ici, dans ce monde si particulier et je n’ai jamais réussi à trouver un moyen de réintégrer mon époque d’origine. « 

Quarante-septième nouvelle du Projet Bradbury.
Couverture: d’après une photo libre de droits de JR Korpa

Comme je le pressentais, la fin du challenge s’annonce un peu laborieuse et cette dernière nouvelle du mois de novembre n’a pas été très simple à écrire. J’avais prévu une structure assez partiuclière mais une fois de plus, par manque de temps, il m’a fallu revoir ma copie. J’évoquerai plus tard, lors du bilan mensuel, ce que j’avais l’intention de faire. Ce nouveau récit confirme qu’il est temps de passer à une autre phase de l’écriture car j’ai besoin, j’ai envie de consacrer le temps qu’il faut à l’architecture de mes histoires, ce qui malheureusement est loin d’être le cas ! 

UNE BOUTEILLE À LA MER ( sur Smashwords )

UNE BOUTEILLE À LA MER ( version PDF )

Bonne lecture et à dimanche prochain !