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« J’entame mon deux cent quatre-vingt-onzième jour de vol et rien ne distingue l’irréel d’hier avec l’irréel d’aujourd’hui. C’est émouvant parce que les frontières habituelles, les frontières entre les pays disparaissent complètement. D’ici, tout cela n’a aucun sens. On se rend compte que le monde est vraiment tout petit. Mais c’est magnifique, les couleurs sont merveilleuses. « 

Quarante-troisième nouvelle du Projet Bradbury.
Couverture: d’après une photo libre de droits de JR Korpa

Une fois de plus, j’ai démarré la semaine avec un récit que vous ne retrouverez pas là. A l’instar du « Secret », j’ai une autre arlesienne que je tente de finir depuis des mois mais sur lequel je coince. J’ai donc dû revoir totalement ma copie et je suis partie totalement ailleurs. Ce serait mentir que de vous dire que c’est toujours aussi facile. Je commence sérieusement à m’essoufler et à manquer d’idées. Ce n’est pas que le récit soit mauvais mais je suis déjà passé par là, pour faire simple. Je sais bien qu’il est inutile de chercher à faire original mais la sensation est étrange quand tu as l’impression de reconnaître le chemin que tu es en train de parcourir …

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A dimanche prochain !