Après une période estivale riche en travaux de toutes sortes, me voilà enfin de retour aux affaires. Ce n’est pas faute d’en avoir eu l’envie mais autant j’aurai consacré 2020 à l’écriture, autant cette année aura défilé à toute allure loin du moindre feuillet, loin du moindre stylet.
Le programme original était de publier les quatre recueils du Bradbury entre mars et juin de cette année. Pour le coup, j’aurai réussi la moitié de mon objectif en publiant « Fugues quantiques » le 15 mars et « Les Destins incertains » le 1er juin. Pour ce qui concerne les deux autres, j’ai quelque peu rétropédalé.
L’été a été, comme chaque année désormais, d’une densité sans pareille. Je n’ai rien vu passer et je n’ai eu que peu de loisirs de me retrouver devant un clavier. Je n’ai d’ailleurs rien publié entre début juin et aujourd’hui.
C’est après une petite semaine de vacances (plutôt maigrichonne, je dois dire, j’en reprendrai bien une part) que j’ai pu reprendre le fil, distendu depuis la fin du printemps.
Premièrement, c’est à compter de ce jour que vous pourrez découvrir le troisième opus du Bradbury : « Segment de vie après la chute » qui regroupe les 14 nouvelles écrites entre juillet et septembre 2020.
Depuis le 15 septembre,
» Segment de vie après la chute » est disponible sur Amazon en :
Il m’a fallu un peu de temps pour reprendre tout le processus de correction, de mise en page et de publication mais cela, une fois fait, m’a permis d’enchaîner avec le quatrième et dernier recueil intitulé « Turbulences asynchrones » qui sortira courant octobre. ( Il faut toujours un peu de délai avec la version broché ).
Une fois cet ultime opus publié, je pourrai enfin tourner la page du Bradbury, quasiment deux ans après avoir débuté ce challenge de fou furieux ! Et je dois dire que je commence à trouver le temps un peu long.
Car c’est aussi à cause de cela que je n’ai pas bien réussi à maintenir mon rythme d’écriture.
J’aime bien terminer ce que j’ai commencé et c’est vrai que dans ce contexte, difficile pour moi de véritablement passer à autre chose.
Mais le temps est venu.