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L’été vient de laisser la place à l’automne et le rythme général s’est mis à changer de façon presque imperceptible. La cadence reste soutenue mais je n’ai pas rencontré de grandes diffcultés pour la rédaction des quatre nouvelles d’Octobre. Si ce n’est au niveau de l’inspiration car le terme du challenge approche et ça commence à tirer un peu !

La moyenne d’écriture reste identique à celle de Septembre avec 10 000 mots écrits, soit une moyenne de 2500 mots par nouvelle environ. Et j’ai bien l’impression que cette moyenne va perdurer jusqu’à la fin du Projet, ce qui aménerait la totalité à 150 000 mots écrits en une année. A suivre !

 

Pour cette nouvelle, j’ai été influencé par une série australienne dont j’ai oublié le titre et qui relate une bien étrange histoire entre surnaturel et science fiction. Je me souviens que cela m’avait marqué.

Vous l’aurez constaté, je suis plus axé SF que fantastique et j’ai comme l’impression que je n’ose pas trop m’aventurer sur les Terres fantastiques. Il y a un je ne sais quoi qui m’arrête. Pourtant je lorgne fortement vers ces horizons ou se mélangent l’irrationnel, la magie et les pouvoirs obscurs. Bref, une fois n’est pas coutume ( il faudrait que je compte le nombre de nouvelles spécifiquement fantastiques ), j’ai voulu retrouver ces ambiances particulières de ce type de littérature. Bien entendu, je n’ai pas pu m’empêcher de faire une sorte de salto arrière sur la fin. Plus j’avançais dans l’histoirer et plus je trouvais que cela faisait trop sérieux. J’ai donc eu besoin de savonner un peu la planche !

 

LES CENDRES DE LA LUNE

Publié le 04 octobre 2020

1975 mots

Comme je l’ai expliqué en préambule de la publication de « Lisbeth », j’ai vraiment bien ramé avece cette nouvelle. Enfin, pas la nouvelle à proprement parler, mais ce qui a précédé. J’ai passé plus de trois jours à chercher une idée. Rien. Nada. Pas le moindre début d’idées. Vous me direz, au bout de quasiment une quarantaine d’histoires, il est peut être ausi un peu normal de sécher un peu. Et j’ai vraiment tourné et retourné cette foutue page pour voir si un truc apparaîtrait comme par magie. Mais rien n’est apparu. J’ai donc replongé dans mes notes et j’en ai ressorti « Lisbeth ». Ce texte n’était pas destiné à être construit de la sorte mais il fallait bien que je ponde quelque chose ! Du coup, j’ai une histoire dont la fin est un peu courte, si je peux m’exprimer ainsi. Malgré le réel plaisir que j’ai eu à l’écrire, je sais qu’il est un peu inachevé. Je le reprendrais donc plus tard ( comme d’autres d’ailleurs qui méritent, me semble-t-il un meilleur traitement ).

LISBETH

Publié le 11 octobre 2020

2509 mots

L’idée du « Secret » s’agite dans ma tête depuis quasiment le début du Projet. Mais impossible de trouver une façon efficace de raconter cette histoire. Alors chaque fois, je la reposais là où elle était et écrivait autre chose à la place. Jusqu’à ce que je repense à une série de BD, notamment  » Quai d’Orsay » d’Antonin Baudry. Je sais pas pourquoi mais ça a fait tilt et j’ai pu enfin trouver le point de vue qu’il me manquait pour rédiger ce texte. Au final, je ne suis pas mécontent du résultat et cela m’a donné une idée supplémentaire pour la suite. Je ne dis rien pour ne rien spoiler comme on dit mais cette  histoire a un réel potentiel de développement en alternant différents points de vues. Pour ce qui est de l’écriture, j’ai le sentiment d’avoir pris une posture différente de d’habitude. C’est difficile à exprimer pour le moment mais j’y reviendrai. En tous cas, c’était une chouette aventure ! Hâte d’y retourner !

 

LE SECRET

Publié le 18 octobre 2020

3092 mots

Alors là, j’ai tout simplement voulu me faire plaisir et je ne suis pas allé chercher midi à quatorze heures. J’ai recyclé une vieille idée, rajouté deux, trois éléments, mixé le tout et roulez jeunesse ! Comme certains s’en doutent, je suis assez fan des bouquins de Vernon Sullivan, de San Antonio, des mots d’Audiard. Bref, j’adore l’argot et je rêve de pouvoir écrire un livre en utilisant ce langage fleuri et en le mélangeant avec de la SF contemporaine. Ce n’est pas gagné car cela demande beaucoup de boulot mais bref j’ai voulu, avec « Braquage à l’ancienne » m’échauffer un peu. Le texte est plutôt court et mériterait également un développement mais ce n’est que partie remise. Ce qui m’a intéressé même si ce n’est que survolé c’est de revisiter le temps de ma jeunesse et de le confrontrer au monde d’aujourd’hui et je sais que dans ce domaine, il y a matière !

 

BRAQUAGE A L’ANCIENNE

Publié le 25 octobre 2020

2438 mots

Nous sommes donc fin octobre et il me reste 10 nouvelles à écrire. Le bout du tunnel n’est pas loin. Je dois reconnaître que j’étais loin dêtre certain d’arriver à cette étape.  Quoiqu’il en soit et même s’il ne reste que peu de nouvelles à écrire, j’ai le sentiment que cela ne va pas être si facile. Comme pour un marathon, les derniers mètres sont les plus durs !